(par un random perdu dans les abysses de l’ecchi yuri/hetero ) Alors pour les amateurs du genre, c’est la version hétéro de Android wa Keiken Ninzuu ni Irimasu ka?? Sauf qu’au lieu d’avoir un délire gentiment chelou, ici on tape directement dans la science-fiction pour puceaux désabusés. L’histoire ? Un nerd (oui j’utilise “nerd”, pas “geek”, j’ai de la dignité et pas “otaku”, j’suis pas une ptn d’egirl) crush depuis 1000 ans sur la meuf la plus bonne du lycée. Classique. Mais voilà qu’un jour, devant sa porte : un clodo l’attend. Surprise, c’est la meuf. Et c’est un robot. 💀Elle est là car un terroriste lui a niqué son…

Je vais résumer ça en quelques mots :yuri, viol, SM et à poil chaque épisode.Voilà. Voilà. Cet anime commence comme les plus grands drames de notre siècle : une gamine malade Qui va se faire expulser tah un arabe sous zemmour . Elle atterrit sur une île privée nommée Mermaid, et là, elle spawn littéralement devant deux exhibitionnistes qui se grillent les miches au soleil dans des maillots si serrés qu’on pouvait entendre les coutures crier.Nos deux protagonistes, formes généreuses en 4K 60fps, commencent à se peloter à 3 mètres de la gamine qui n’a même pas eu le temps de dire “bonjour”. Et là, sans prévenir : Transformation !Une…

Franchement, Monster Musume, c’est un peu comme si des gens avait donne des thunes pour animer une fanfic deviantart de sonic. Mais ce que les gens savent pas toujours, c’est que y’en a deux, deux œuvres qui portent quasiment le même blaze, mais qui te donnent deux trips différents, même si les deux suintent la moiteur des fantasmes poisseux. T’as d’un côté Monster Musume no Iru Nichijou, celui dont tout le monde parle quand on dit “Monster Musume” genre c’est la ref. C’est le harem classique, sauce Waifus x Zootopia. Le gars se retrouve avec un bestiaire entier dans son appart, sous prétexte de programme d’intégration inter-espèce (vraiment, y’a un…

Avant de rentrer dans le vif du sujet, je vais décrire rapidement la structure de ce texte. Il s’agit ici d’une sorte de progression : du ecchi le plus SFW (mais tout de même intéressant à regarder) au plus NSFW, pas forcément bon, mais marquant. Il va de soi que je ne parlerai que des ecchis de type PEGI 18, parce que l’appellation “ecchi” est parfois utilisée pour des animés qui n’ont absolument rien à y faire. Bien sûr, je n’ai pas vu tous les ecchis de cette planète et pour qu’un anime apparaisse dans cette critique, il faut qu’il ait au moins une particularité notable. Il ne faut pas…

On pourrait légitimement se demander pourquoi commencer cette sélection par High School DxD. Et bien, parce que pour beaucoup dont moi cet anime a été une vraie porte d’entrée dans le monde du ecchi, surtout à l’époque où certains YouTubers (plutôt sympas d’ailleurs, vu le choix d’anime ils auraient pu faire bien pire) vendaient ça comme un chef-d’œuvre de romance et de narration. Spoiler alert : ce n’en est pas un. HS DxD, c’est un anime de baston et de cul, sans grande subtilité. Mais le revoir aujourd’hui, avec peut-être un petit gramme dans le sang, peut devenir une expérience franchement drôle. Les situations qui amènent au fan service sont…

Trouble : Digne successeur japonais de Extra Zigda, en allant un peu plus au bout des choses. C’est-à-dire que dans Extra Zigda, on suit une famille qui reçoit une extraterrestre dans le cadre d’un échange linguistique. La série met dans le rôle de Zigda une actrice volontairement habillée de manière assez osée, souvent placée dans des situations cringes, parfois fétichistes ou sexualisées. Eh bien ici, les Japonais ont mis les pieds dans le plat directement : l’héroïne, Lala une extraterrestre débarque en plein milieu de la déclaration d’amour que Rito, notre protagoniste, fait à sa crush… et elle va évidemment croire que cette déclaration lui est destinée. Vous imaginez bien…

Celui-là va être plus court, car on est encore dans la même veine que les deux précédents. On suit un mec, Mako (oui, comme le gars au feu dans Avatar: Korra), qui va façon backrooms traverser la réalité pour popper dans un monde parallèle où des monstres veulent lui péter la gueule. Heureusement pour sa survie, une meuf débarque et le sauve in extremis. Mais comme toujours, y a une couille dans le pâté: pour le sauver, elle doit faire de lui son esclave (en vrai 🤔🫠). Et forcément, le gars accepte sous la menace de se faire démonter par les monstres qui, à tout moment, peuvent lui « niquer sa…

Alors celui-là… gros morceau. À mon sens, il y a deux façons de prendre cet anime : Au 2ᵉ degré, en mode “haha c’est chelou mais marrant, j’suis là pour le fun”. Et au 3ᵉ degré :c’est-à-dire rigoler de l’absurdité totale tout en se disant : « Attends… et si en fait c’était un chef-d’œuvre qui brise les codes du genre ? Parce que oui, tu peux presque le vendre comme une œuvre avant-gardiste qui retourne le genre des magical girls en nous plongeant dans la tête de l’antagoniste principal.(C’est un peu comme si dans My Hero Academia, on suivait uniquement All For One, qui resterait un pur méchant…Mais qui, en…

Alors… celui-là.Interspecies Reviewers, c’est littéralement le moment où l’ecchi regarde dans le miroir et dit : “Oh fuck,Let’s do this shit.” Donc on y suit une bande de quatre joyeux débiles (parfois cinq, mais on va rester sur quatre, c’est déjà assez), qui ont eu l’idée du siècle : Faire le tour des bordels inter-espèces du monde entier pour les tester et les noter. ouais🤦‍♂️. Ils se disent : « Tiens, et si on devenait les TripAdvisor du sexe interespèce ? Un petit effort pour l’homme mais un bond de géant pour l’humanité. « Et là tu te rends compte du niveau de méta dans le délire :Je suis littéralement en train…