Critiques Constructives

Interspecies Reviewers

Alors… celui-là.Interspecies Reviewers, c’est littéralement le moment où l’ecchi regarde dans le miroir et dit : “Oh fuck,Let’s do this shit.”

Donc on y suit une bande de quatre joyeux débiles (parfois cinq, mais on va rester sur quatre, c’est déjà assez), qui ont eu l’idée du siècle :

Faire le tour des bordels inter-espèces du monde entier pour les tester et les noter. ouais🤦‍♂️. Ils se disent :

« Tiens, et si on devenait les TripAdvisor du sexe interespèce ? Un petit effort pour l’homme mais un bond de géant pour l’humanité.

« Et là tu te rends compte du niveau de méta dans le délire :Je suis littéralement en train de faire une review de cul sur un anime qui fait des reviews de cul.C’est beau. C’est presque poétique.

Chaque épisode nous emmène dans un ou deux établissements, chacun avec sa race, son délire et son kink douteux.

Et c’est là que la ligne entre humour absurde et malaise profond devient floue.

Genre… à un moment, nos héros assistent à la ponte des œufs par les femmes-oiseaux.Un espèce de bar à ponte live, ambiance “accouchement sous néon” le Planète Sauvage version Dorsia( pour ceux qui ont pas la ref cheh).

Et là t’as le pote lézard qui est en mode :

« Ouais!🤤 »

Pendant que les autres sont au fond de la salle en PLS, en mode :

« Mais qu’est-ce qu’on branle là, Bordel ? »

Et c’est précisément dans ce genre de situations que tu ne sais plus si t’es en train de regarder une satire de kinks ou juste… un kink.

voilà…voilà 🙄(what the hell😦)

Mais parlons des persos.

Ils sont très bien écrits (oui, j’ose le dire), chacun avec sa propre folie, son rôle, son charme tordu.

Zel, l’elfe, a des goûts TRÈS particuliers :Les milfs, les vieilles, les succubes…(On ne juge pas. On constate. 😶)

Il forme avec Stunk un duo de dépravés totalement complémentaire :Le cerveau et le muscle du plan foireux, toujours là pour faire exploser la situation et faire chier Meidri.

Meidri, justement, c’est la seule personne à peu près normale de l’anime.Une harpie, tenancière du bar où nos héros affichent leurs chroniques sexuelles.Elle passe son temps à subir les avances douteuses de Stunk, et à le frapper avec tout ce qui lui passe sous la main.

Et entre deux bordels visités, ça discute, ça débat des meilleurs plans, ça théorise le sexe interespèce comme si c’était un art noble.Un peu comme nous ici.Mais eux, au moins, ils testent😏.

En résumé :C’est malaisant, c’est tordu, c’est NSFW au dernier degré… mais c’est hilarant.Et si tu arrives à le regarder sous l’angle de l’absurde, de la satire du genre, c’est un pur moment de plaisir coupable.À mater seul, bien sûr.(Sauf si la personne à côté de toi est plus qu’un ami… 👀 dans ce cas-là, good luck à vous deux.)

Un moment d’innocence qui résume bien l’anime.

Meidri blasée

Zel Songeur

Préambule

Avant de rentrer dans le vif du sujet, je vais décrire rapidement la structure de ce texte. Il s’agit ici d’une sorte de progression : du ecchi le plus SFW (mais tout de même intéressant à regarder) au plus NSFW, pas forcément bon, mais marquant. Il va de soi que je ne parlerai que des ecchis de type PEGI 18, parce que l’appellation “ecchi” est parfois utilisée pour des animés qui n’ont absolument rien à y faire. Bien sûr, je n’ai pas vu tous les ecchis de cette planète et pour qu’un anime apparaisse dans cette critique, il faut qu’il ait au moins une particularité notable. Il ne faut pas non plus qu’il soit trop générique… sauf si la waifu est trop bien écrite ou trop bonne (de toute façon, je fais ce que je veux donc osef). Par exemple, on va éviter les romances à la The Quintessential Quintuplets, parce que voilà, j’ai la flemme de le voir, et vu la commu, ça vaut pas le coup. Mais bon, je digresse. Sur ce, commençons.

Un commentaire

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *