Demon Slave
Celui-là va être plus court, car on est encore dans la même veine que les deux précédents. On suit un mec, Mako (oui, comme le gars au feu dans Avatar: Korra), qui va façon backrooms traverser la réalité pour popper dans un monde parallèle où des monstres veulent lui péter la gueule. Heureusement pour sa survie, une meuf débarque et le sauve in extremis. Mais comme toujours, y a une couille dans le pâté: pour le sauver, elle doit faire de lui son esclave (en vrai 🤔🫠). Et forcément, le gars accepte sous la menace de se faire démonter par les monstres qui, à tout moment, peuvent lui « niquer sa mère ». Plus tard, on découvre qu’il y a plein d’autres persos qui sont aussi sous ce contrat d’esclavagisme magique, ce qui nous donne un harem à vibes BDSM chelou. Alors mes chers lecteurs, vous vous demandez sûrement :
> “Pourquoi le ton de ma rubrique change-t-il d’un coup ?
”Eh bien parce que pour moi, cet anime est à l’animation japonaise ce que Les Tuche sont au film d’auteur : c’est beauf, bordel. (Alors oui, on pourrait dire ça des autres aussi… mais celui-là, je sais pas, il m’a particulièrement donné cette sensation.) Surtout à cause du côté “maître/esclave”, qui est mal assumé, mal exploité, et qui devient vite cringe. C’est un peu comme les derniers Marvels : ils se foutent de la gueule du genre super-héroïque tout en en faisant exactement ça, en enchaînant les clichés proprement ridicules. En résumé: pas légendaire, mais un petit avantage subsiste les couvertures des tomes sont assez “soft”, donc parfait pour piéger les non-initiés qui croient que c’est un shōnen classique. (Petit bonus: ptn… la waifu est 👌. Un mélange entre Esdeath (Akame ga Kill) et Black Lobelia (My Dress-Up Darling) … une dinguerie, j’irais pas jusqu’à un « marche moi dessus » mais y a moyen 😏)

Black Lobelia

EsDeath